Étends tes yeux dans la lumière
comme la mer
mon coeur déborde
là où il y avait un port
je glisse sans mémoire
et je n'ai plus d'espoir
mais j'aime encore
le vent m'a pris
lorsque j'ai pris le vent
La vague respire d'océan
sa mer toujours la tend
et la reprend
l'étend
de même
j'étends mes yeux dans la lumière
je fais de dieu
le véritable imaginaire
cascades en fleurs
là où pleurait mon coeur
pleurs élevés par-dessus l'eau
mer infinie
qui vient d'en haut
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