L’Homme est Conscience
Qui se déverse
Un simple vase
Que l’océan traverse
En bas
La foule triste
Se dépeuple
L’économie divise et règne
Au dedans de chacun
L’idole qui riait
Grimace au cœur des hommes
Il n’y a plus de poésie
Qu’à l’instant où ton cœur
Parait
Comme un soleil en pleine nuit
Ton cœur
Fondu à l’univers
Tes mains
Qui ne retiennent rien
Ton silence habité
Qui est la Vie
Où se puisent les Noms
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
5.8.08
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