nos pas sont si lourds
parfois
comme fautifs
et la mort les attire
si bas
qu'un abîme a pleuré
sans qu'on sache de quoi
de quoi a-t-on manqué
pour ne jamais sentir
le soleil à nos pieds
léger
et l'air
le matin clair
le ciel à nos poitrines ?
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
27.9.06
26.9.06
chant de nuit
Le cœur dormait
Sous ses îles la veilleuse veillait
Une goutte est tombée
Que la Mère a bercée
Pluies de lumières
Dans la blessure d’amour
Dans les plis de Marie
Le nom de l’amoureuse
Ainsi le cœur s’est élevé
Ainsi tu es venue
As arrosé ma vie
Et puis cueilli mon cœur
L’amour que j’ai de toi
Fait le tour de la Terre
En boucles noires
Tissées dans la lumière
Et chaque nuit nos corps
Jouent pour le ciel ouvert
Sous ses îles la veilleuse veillait
Une goutte est tombée
Que la Mère a bercée
Pluies de lumières
Dans la blessure d’amour
Dans les plis de Marie
Le nom de l’amoureuse
Ainsi le cœur s’est élevé
Ainsi tu es venue
As arrosé ma vie
Et puis cueilli mon cœur
L’amour que j’ai de toi
Fait le tour de la Terre
En boucles noires
Tissées dans la lumière
Et chaque nuit nos corps
Jouent pour le ciel ouvert
16.9.06
si ton sourire
Si ton sourire
Me dit d’aimer
Je n’ai plus de raison
La nuit est soulevée
Nos corps la suivent
Ivres
Danse la vérité
Au creux de nos désirs
Me dit d’aimer
Je n’ai plus de raison
La nuit est soulevée
Nos corps la suivent
Ivres
Danse la vérité
Au creux de nos désirs
automne
L’automne vient
S’approche
L’automne approche
En robe jaune
Tout proche
L’automne est mien
Le vent le vole
Mon cœur s’accroche
Le ciel le suit
Pluie de soucis
Nuages sombres
L’âme se voile
Passe la vie
Si tristement
Rien ne s’efface
Souvenir pleut
En ma mémoire
Le vent le vole
Couleur automne
Mon cœur attend
Lumière noire
L’avenir prie
Lumière blanche
L’avenir danse
Le pur éclat
Joue dans les plis
Jaunes d’automne
Des feuilles tombent
Ta robe vole
Mon cœur la suit
sillon profond
et c'est toujours l'amour
qui entre en ma demeure
m'enlève le sourire
ne parle que de pleurs
Amour !
comme le vent
sur l'eau qui dort
comme la ride
que le ciel creuse
sillon profond
où je demeure
qui entre en ma demeure
m'enlève le sourire
ne parle que de pleurs
Amour !
comme le vent
sur l'eau qui dort
comme la ride
que le ciel creuse
sillon profond
où je demeure
3.9.06
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