La mer foudroyée
Le cœur brisé reposé
Chûte d’une cîme
D’ici la plus haute élevée
Mais qu’importe à présent
Tous les deuils en lui sont pressés
D’en finir
Il murmure à la mort qui rôde
Et lui donne
Un souhait
Pour ne plus désirer pour
Refermer les plaies
Les plus vives
D’une âme épuisée
Et voir encore un horizon
Mirage de ma vie
Qui comprendra ?
Mais je n’étais qu’orage
Et puis l’éclair
Et l’eau
La mer foudroyée
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