A la nuit dévoilée
Va donc savoir
Mon âme
Pourquoi je n’ose pas
Approcher de la dame
Qui toujours me sourit
Attend
Me semble-t-elle
Que je l’enlace
Mais qui va s’en lasser
Peut-être
Je ne sais pas
Je ne me comprends pas
Et je fuis l’évidence
Et j’arrête sa danse
Je la voudrais
Mais je ne sais que faire
J’ai désappris d’aimer
Mes yeux me sont de trop
Mon cœur a trop tremblé
Ses mots
Je ne les reprends pas
Et les yeux qu’elle me tend
Je ne les retiens pas
J’attends
Sans savoir quoi
Un aveu plus profond
Montant du fond de moi
Etre sûr que c’est elle
Etre sûr de vouloir
Une autre dame
Que celle que j’ai voulu
Avec qui j’ai vécu
Celle qui a pris ma vie
Et laisse mon cœur vide
Et ma vie nue
Ma fidèle
Mon aimée
Mon unique
Es-tu donc à jamais disparue
Nul chemin ne mène plus mes pas
Jusqu’au seuil de ton âme
Le ciel que j’ai de nous
A fui dans la nuit noire
Et c’est en vain
Si je t’appelle encore
Encore encore
Et ne dors plus
Je ne sais plus
Je la voudrais
Mais le chemin s’est effacé
Du désir de mon cœur
Aux lèvres pour un oui
Je n’ai qu’un chant pleuré
Dans mon obscurité
Que la triste louange
A la nuit dévoilée
Amour m’a déserté
Et parfois quand j’y pense
J’espère dans le secret
Ne plus jamais jamais aimer
Plus jamais une dame
Ne plus jamais oser
Et mourir comme ça
Cœur ouvert
Cœur noyé
Masqué
Oublié
Effacé
Et alors
Comme lorsque j’étais enfant
Contemplant la splendeur étoilée
Tout au-dessus de nous
Pleurant les pluies d’ici
J’aimerais oui vraiment
Ne pas avoir été
Va donc savoir
Mon âme
Pourquoi je n’ose pas
Approcher de la dame
Qui toujours me sourit
Attend
Me semble-t-elle
Que je l’enlace
Mais qui va s’en lasser
Peut-être
Je ne sais pas
Je ne me comprends pas
Et je fuis l’évidence
Et j’arrête sa danse
Je la voudrais
Mais je ne sais que faire
J’ai désappris d’aimer
Mes yeux me sont de trop
Mon cœur a trop tremblé
Ses mots
Je ne les reprends pas
Et les yeux qu’elle me tend
Je ne les retiens pas
J’attends
Sans savoir quoi
Un aveu plus profond
Montant du fond de moi
Etre sûr que c’est elle
Etre sûr de vouloir
Une autre dame
Que celle que j’ai voulu
Avec qui j’ai vécu
Celle qui a pris ma vie
Et laisse mon cœur vide
Et ma vie nue
Ma fidèle
Mon aimée
Mon unique
Es-tu donc à jamais disparue
Nul chemin ne mène plus mes pas
Jusqu’au seuil de ton âme
Le ciel que j’ai de nous
A fui dans la nuit noire
Et c’est en vain
Si je t’appelle encore
Encore encore
Et ne dors plus
Je ne sais plus
Je la voudrais
Mais le chemin s’est effacé
Du désir de mon cœur
Aux lèvres pour un oui
Je n’ai qu’un chant pleuré
Dans mon obscurité
Que la triste louange
A la nuit dévoilée
Amour m’a déserté
Et parfois quand j’y pense
J’espère dans le secret
Ne plus jamais jamais aimer
Plus jamais une dame
Ne plus jamais oser
Et mourir comme ça
Cœur ouvert
Cœur noyé
Masqué
Oublié
Effacé
Et alors
Comme lorsque j’étais enfant
Contemplant la splendeur étoilée
Tout au-dessus de nous
Pleurant les pluies d’ici
J’aimerais oui vraiment
Ne pas avoir été
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