Goodbye my lover
(version universelle)
Tu n'as jamais suivi mes pas
Ni voulu de ma foi
L'aventure de mon coeur
Ne t'atteint pas
Amoureuse
À peine tu le fus
À peine t’en souviens-tu
Tu étais jeune
Me disais-tu
Les risques que j’ai pris
N’ont fait que t’éloigner
Et chacun de mes rêves
T’exaspérer
Pourtant de moi tu as eu
Tout ce que tu voulais
Sans même le regarder
Un toit un foyer
Et la priorité
Et je t’ai poursuivie
Et appelée
Année après année
Comme je t’ai désirée
Comme je nous ai rêvés
Unis pour cette vie
Dignes de l’éternité
À quoi bon les regrets
Et pourquoi t’en vouloir
De m’avoir désappris
Étions nous l’un pour l’autre
Ou bien t’ai-je volée
Mais à qui
Te voici loin de moi
De mes secrets
Ouverts pour toi
Comme des veines
Et qui saignent
De quelle amitié parles-tu
Que veux-tu donc sauver
Comment m’as-tu aimé
Mais c’est la vie qui a jugé
La lumière est liquidée
Et je n’ai que ma peine
Pour toute dette
Comme tu es belle encore
Dans ton corps qui dit non
Qui ne dit rien
Comme mon âme encore est pleine
De ton nom
Il est bon
Même doux
De ne s’attendre à rien
La vie en brume
Savoir qu’aucune ne vient
Ce n’est que l’air qui me sourit
Que je chantonne
Qui me va bien
Cet air de rien
Le mien
Au revoir mon aimée
Notre légende emplit le vide
Livre les mots
Que je te signe
(version universelle)
Tu n'as jamais suivi mes pas
Ni voulu de ma foi
L'aventure de mon coeur
Ne t'atteint pas
Amoureuse
À peine tu le fus
À peine t’en souviens-tu
Tu étais jeune
Me disais-tu
Les risques que j’ai pris
N’ont fait que t’éloigner
Et chacun de mes rêves
T’exaspérer
Pourtant de moi tu as eu
Tout ce que tu voulais
Sans même le regarder
Un toit un foyer
Et la priorité
Et je t’ai poursuivie
Et appelée
Année après année
Comme je t’ai désirée
Comme je nous ai rêvés
Unis pour cette vie
Dignes de l’éternité
À quoi bon les regrets
Et pourquoi t’en vouloir
De m’avoir désappris
Étions nous l’un pour l’autre
Ou bien t’ai-je volée
Mais à qui
Te voici loin de moi
De mes secrets
Ouverts pour toi
Comme des veines
Et qui saignent
De quelle amitié parles-tu
Que veux-tu donc sauver
Comment m’as-tu aimé
Mais c’est la vie qui a jugé
La lumière est liquidée
Et je n’ai que ma peine
Pour toute dette
Comme tu es belle encore
Dans ton corps qui dit non
Qui ne dit rien
Comme mon âme encore est pleine
De ton nom
Il est bon
Même doux
De ne s’attendre à rien
La vie en brume
Savoir qu’aucune ne vient
Ce n’est que l’air qui me sourit
Que je chantonne
Qui me va bien
Cet air de rien
Le mien
Au revoir mon aimée
Notre légende emplit le vide
Livre les mots
Que je te signe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire