Froissée
La pitié que j’ai de toute fleur
Froissée
Est comparable aux yeux mouillés
Du dieu brisé
Un seul éclat
En redit l’unité
Et même le néant
Lui est lieu d’être
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
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