L’étoile entre nos mains
La nuit fut plus profonde
Sans ami
Un jour d’éternité maudite
Un éclair noir
Et qui ne meurt
Jusqu’à ton pas
Si sûr
Qu’il ne demandait qu’à me suivre
Dans ces dédales où ils ont égaré la vie
Les petits hommes
Rivés à leurs machines
Argent contre envies maladives
Sans un lieu où dormir
Nager d’amour
Et puis voler si loin
Qu’un futur a rêvé
L’étoile entre nos mains
J’emporte ton nom
D’un pas léger
Par-dessus la cité
La ruine de ses vies
Simulées
Le réel est la mer
Du ciel pleuvent les fleuves
Nous avons perdu
Et retrouvé
La clarté sans pareille
Et la Lumière
Nous habitait
Et nous avons chanté
Les anges s’en souviennent
Et le chant les déborde
Atteint l’obscurité
Où la lumière s’est éveillée
Serment des frères
La brèche n’effraie plus
Où danse l’innocence
Trois idées simples
Ont franchi le sommet
Où l’ancien fleuve s’est perdu
Majestueuse
La Victoire nous emporte
L’ivresse des remous
Nous éclabousse
Mille perles courent
Sur ton visage
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
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