Les jours se suivent
Le rythme est nu
Nos traces s’abandonnent
Aux sables du désert
Au vent qui les balaie
Ici l’enfer
Où pleurent les abîmes
Ici aussi l’extase
Quand tu me danses en toi
Et je n’ai d’autre envie que Dieu
Puissance d’amour qui submerge tout
Tandis que tu te reposes
Épuisée de tout
Voici la nuit
Et puis voici le jour
Rien ne dure
Que l’infinie saison
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
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