Le cœur dormait
Sous ses îles la veilleuse veillait
Une goutte est tombée
Que la Mère a bercée
Pluies de lumières
Dans la blessure d’amour
Dans les plis de Marie
Le nom de l’amoureuse
Ainsi le cœur s’est élevé
Ainsi tu es venue
As arrosé ma vie
Et puis cueilli mon cœur
L’amour que j’ai de toi
Fait le tour de la Terre
En boucles noires
Tissées dans la lumière
Et chaque nuit nos corps
Jouent pour le ciel ouvert
En guise de bienvenue !
"... c’est en tous temps et en tous lieux que je peux prouver qu’il est possible de vivre sa liberté ; que vivre n’est pas une habitude qui se poursuit à mon insu, et que je peux, jusque dans les formes figées de la société, saluer en moi, comme en chacun, la ressemblance divine."
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